11/19/2009

L'Albaicin, beau en câline!

cette rime d'une qualité discutable vous est présentée pas: Cruzcampo, tómate la vida con Cruzcampo!

Le dimanche, 8 novembre 2009

On déjeune en partageant des histoires de la veille, puis on s’en va toutes ensemble à la fameuse exposition augustine commémorative à la Iglesia del Corpus Christi, la raison principale de ce voyage à Granada. *cough cough* Le guide parlait bien vite, et comme je ne travaille pas dans la restauration d’art, j’étais clairement moins fascinée que les autres. Intéressant pareil.

Quelle gueule de bois agréable à se promener dans lAlbaicin sous le soleil frisquet de l’automne espagnol… C’est joli Grenade, c’est jeune et vivant, ça grouille d'artistes et d’activiste, y’a des nomades qui vendent des bijoux sur les coins de
Pff… this is baaaad… je suis en train de tomber (une fois de pl rues… ça et là on trouve un cadre de porte en céramique ou un superbe arc sculpté en motifs arabes, et on entend presque une flûte nous jouer une mélodie musulmane mystique et on s’imagine que Sherazade va se pointer sur le balcon du coin… mais à chaque tournant des graffitis artistiques et engagés nous recramponnent les pieds sur terre et nous rappelle qu’on est en 2009. Plein de beaux hippies mal rasés en chemises rayées qui jouent des drums pour gagner des pinottes… eille Julie, ça te dirais pas qu’on fasse ça un été? Je promets d’apprendre à jouer du jembe! On pourrait vivre dans un squat de l’Albaycin ou une grotte du Sacramonte!


Du Mirador San Nicolas (point de vue qui donne sur La Alhambra et Granada au complet), on se sent à la fois très grand, et très petit. Et très affamés. Alors on redescend vers le centre, dernier gavage de tapas avant de retourner au bus : paella, champignons y jamon, salade de patate à la sauce aioli, plateau de fromages et viandes et croquetas et tortilla et je baaaaaave à y repenser… mais merde que c’était salé et gras! Je comprend pas que le peuple engraisse pas à vue d’œil ici.




Derniers achats : un foulard vert (ben oui, un autre foulard), une carte postale pour gen et du thé pakistanais. J’ai dormi presque toute la ride de bus sur les bancs du fond. J’ai eu ma dose d’espagnol pour un boute… À Alcalá, chacune avait un bel homme qui l’attendait avec une voiture. Hmpf... Au moins j’ai bummé la ride de la famille d’Ofelia jusqu’à Plaza Alta!

Zzzzzzzzzz...

Tune du jour: (pour Carmen) Je ne regrette rien - Edith Piaf

1 comment:

  1. ayayaye, les tapas, encore les tapas. J'espère que ça va pas te coller aux foufounes... eh ben, si tu descends et remontes la côte à pied à chaque jour, tu devrais être ok.
    Mama xx

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